Membres
mardi 24 février 2009
05:40 | Publié par
Playerstory |
Modifier l'article
Depuis ces débuts, le jeu vidéo à bien changé, à tous les niveaux, ses consommateurs aussi et leur nombre est en constante augmentation. Des premiers ordinateurs aux dernières consoles, on ne joue plus de la même façon et aux mêmes choses.
Il y a presque 30 ans, on ne jouait pas aux Jeux Vidéo par hasard, Les premiers Amiga, Atari n’attiraient qu’une catégorie d’ados passionnés. Les créateurs étaient des précurseurs, cette période du début des années 80 était très faste en variété, inventivité mais aussi en médiocrité. Le secteur n’était alors pas sur les mêmes railles qu’aujourd’hui et l’on ne savait jamais vraiment si notre petite disquette contenait un petit bijou de fun, un jeu impossible à terminer, ou une grosse blague à peine jouable. Ce sont tous les tâtonnements de ces années qui donneront naissance aux premiers styles de jeux : plateforme, doom-like, rpg, baston, course auto, etc…
S’entrecroisera une cohabitation avec les premières consoles de Sega et Nintendo avec qui le jeu commencera doucement à se démocratiser, facilitant son utilisation.
La première grande vague de changement arrive au début des années 90 avec la super nes de Nintendo suivi de prêt par la Megadrive de Sega. Les jeux proposaient enfin des graphismes identifiables et surtout des musiques et ambiances sonores de qualité. Le jeu vidéo commence à obtenir ses premières lettres de noblesse. À cette époque, que de la 2D, c’est le règne des jeux de plateformes. Mais le public reste jeune et globalement masculin.
C’est au milieu des années 90 avec la Playstation de Sony et la tentative de la Saturn de Sega que le Jeu Vidéo va connaître sa plus forte évolution. C’est la démocratisation de la 3D et même son omniprésence. Nintendo le maître des jeux 2D s’y contraint avec une Nintendo 64 qui a eu du mal à assumer les changements de l’époque. Fini les graphismes naïfs et mignon, bonjour les décors réalistes en 3D tout en pixel.
Les jeux ont donc mûri et ces consommateurs aussi. Des jeux plus adultes sons proposés, le support CD des consoles n’est plus un jouet comme l’étaient les cartouches. Grâce au succès de la console de Sony, les jeux vidéo intéressent désormais un très large publique.
S’en suit une suite logique d’évolution technique avec la deuxième génération de consoles 3D. La 3D se lisse, les jeux sont recyclés, améliorés. Quelques nouveautés font leurs apparitions telles que la possibilité de jouer avec son image retranscrite à l’écran grâce à une caméra, la possibilité de jouer en chantant.
Voilà les prémices d’un nouveau changement marquant qui nous conduit à nos jours.
Même si Sony propose ça troisième console avec plus de technologie et poursuit sur la même voit, l’interactivité physique devient un argument fort pour Nintendo. La marque mise tout sur la manipulation dans l’espace des ces manettes ou de nos mouvements sur un plateau, permettant de produire les véritables mouvements visibles à l’écran. Pour une fois, la concurrence ne fait pas systématiquement la même chose et c’est ce virage qui donne un souffle nouveau et qui va élargir davantage le périmètre des consommateurs à savoir encore plus de femmes et de personnes âgées. Nous verrons si ce phénomène persiste car les jeux proposés sont souvent éphémères, une fois passé l’amusement de cette nouvelle façon de jouer, les petites capacités techniques de la console n’autorisent pas de se réjouir de graphismes extraordinaires, de suivre une histoire longue et prenante.
Sony et son nouveau concurrent Microsoft ont fait le choix de la continuité. Aujourd’hui la 3D n’est plus lisse est sans âme, les matières sont très bien reproduites, les styles graphiques, les rendus de l’image sont de vrais choix artistiques. On peut déguster en haute définition les jeux comme de véritables œuvres d’animation. Les musiques sont réalisées par de grands auteurs, tout comme les scénarios. Les progrès sont faits aussi au niveau de l’interactivité de la console vis-à-vis des différents loisirs. Tout d’abord la connexion à Internet est enfin facilement accessible avec la possibilité de jouer en ligne et de prolonger considérablement la durée de vie des jeux, de créer des réseaux avec ses amis ou des joueurs croisés lors d’une partie, de télécharger des démos, des classiques des anciennes consoles, des thèmes pour personnaliser son bureau et, bien entendu, de surfer sur la toile. Également, les differents branchements et la présence d’un disque dur permettent d’accueillir des photos, des vidéos et de la musique.
Aujourd’hui se joue le prochain virage de l’univers vidéo ludique. Les consommateurs semblent favoriser les jeux physiquement interactifs mais ils pourraient s’en lasser aussi vite. D’autre part, les consoles les plus puissantes vont-elles poursuivre leur course à la performance ? Le coût des jeux s’en ressent, les consommateurs suivront-il ?
Celui qui reportera la prochaine étape sera celui qui innovera.
Il y a presque 30 ans, on ne jouait pas aux Jeux Vidéo par hasard, Les premiers Amiga, Atari n’attiraient qu’une catégorie d’ados passionnés. Les créateurs étaient des précurseurs, cette période du début des années 80 était très faste en variété, inventivité mais aussi en médiocrité. Le secteur n’était alors pas sur les mêmes railles qu’aujourd’hui et l’on ne savait jamais vraiment si notre petite disquette contenait un petit bijou de fun, un jeu impossible à terminer, ou une grosse blague à peine jouable. Ce sont tous les tâtonnements de ces années qui donneront naissance aux premiers styles de jeux : plateforme, doom-like, rpg, baston, course auto, etc…
S’entrecroisera une cohabitation avec les premières consoles de Sega et Nintendo avec qui le jeu commencera doucement à se démocratiser, facilitant son utilisation.
La première grande vague de changement arrive au début des années 90 avec la super nes de Nintendo suivi de prêt par la Megadrive de Sega. Les jeux proposaient enfin des graphismes identifiables et surtout des musiques et ambiances sonores de qualité. Le jeu vidéo commence à obtenir ses premières lettres de noblesse. À cette époque, que de la 2D, c’est le règne des jeux de plateformes. Mais le public reste jeune et globalement masculin.
C’est au milieu des années 90 avec la Playstation de Sony et la tentative de la Saturn de Sega que le Jeu Vidéo va connaître sa plus forte évolution. C’est la démocratisation de la 3D et même son omniprésence. Nintendo le maître des jeux 2D s’y contraint avec une Nintendo 64 qui a eu du mal à assumer les changements de l’époque. Fini les graphismes naïfs et mignon, bonjour les décors réalistes en 3D tout en pixel.
Les jeux ont donc mûri et ces consommateurs aussi. Des jeux plus adultes sons proposés, le support CD des consoles n’est plus un jouet comme l’étaient les cartouches. Grâce au succès de la console de Sony, les jeux vidéo intéressent désormais un très large publique.
S’en suit une suite logique d’évolution technique avec la deuxième génération de consoles 3D. La 3D se lisse, les jeux sont recyclés, améliorés. Quelques nouveautés font leurs apparitions telles que la possibilité de jouer avec son image retranscrite à l’écran grâce à une caméra, la possibilité de jouer en chantant.
Voilà les prémices d’un nouveau changement marquant qui nous conduit à nos jours.
Même si Sony propose ça troisième console avec plus de technologie et poursuit sur la même voit, l’interactivité physique devient un argument fort pour Nintendo. La marque mise tout sur la manipulation dans l’espace des ces manettes ou de nos mouvements sur un plateau, permettant de produire les véritables mouvements visibles à l’écran. Pour une fois, la concurrence ne fait pas systématiquement la même chose et c’est ce virage qui donne un souffle nouveau et qui va élargir davantage le périmètre des consommateurs à savoir encore plus de femmes et de personnes âgées. Nous verrons si ce phénomène persiste car les jeux proposés sont souvent éphémères, une fois passé l’amusement de cette nouvelle façon de jouer, les petites capacités techniques de la console n’autorisent pas de se réjouir de graphismes extraordinaires, de suivre une histoire longue et prenante.
Sony et son nouveau concurrent Microsoft ont fait le choix de la continuité. Aujourd’hui la 3D n’est plus lisse est sans âme, les matières sont très bien reproduites, les styles graphiques, les rendus de l’image sont de vrais choix artistiques. On peut déguster en haute définition les jeux comme de véritables œuvres d’animation. Les musiques sont réalisées par de grands auteurs, tout comme les scénarios. Les progrès sont faits aussi au niveau de l’interactivité de la console vis-à-vis des différents loisirs. Tout d’abord la connexion à Internet est enfin facilement accessible avec la possibilité de jouer en ligne et de prolonger considérablement la durée de vie des jeux, de créer des réseaux avec ses amis ou des joueurs croisés lors d’une partie, de télécharger des démos, des classiques des anciennes consoles, des thèmes pour personnaliser son bureau et, bien entendu, de surfer sur la toile. Également, les differents branchements et la présence d’un disque dur permettent d’accueillir des photos, des vidéos et de la musique.
Aujourd’hui se joue le prochain virage de l’univers vidéo ludique. Les consommateurs semblent favoriser les jeux physiquement interactifs mais ils pourraient s’en lasser aussi vite. D’autre part, les consoles les plus puissantes vont-elles poursuivre leur course à la performance ? Le coût des jeux s’en ressent, les consommateurs suivront-il ?
Celui qui reportera la prochaine étape sera celui qui innovera.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire